6 000 000 $ pour Messier

Mark MessierMark Messier vient de se voir accorder 6 000 000 de beaux dollars par le juge George Nicolau  de New-York pour une vieille histoire. La décision fait bondir les amateurs de hockey les médias à Vancouver

Lorsque Mark Messier a signé son contrat avec les Canucks en 1997, une clause stipulait que si durant la durée de ce contrat, la valeur de la franchise augmentait, il toucherait une prime allant de 5 à 30 000 000 $, proportionnelle à la plus value.

En 2000, les Canucks renversèrent la table et rachetèrent le contrat de Mark Messier. S'ensuivit une longue bataille juridique qui vient de se solder par l'attribution au joueur, par le juge George Nicolau de New-York, d'une prime de 6 000 000. Ayoye.

Une clause à la con

Je comprends que les franchises en arrachent pour attirer de gros noms capables de remplir l'aréna mais de la à signer une telle clause sur un tel montant, même en 1997... Je me demande si cela existe  encore dans le hockey d'aujourd'hui

Mauvais souvenirs

Mark Messier est un mauvais souvenir pour Vancouver. Il a réussi à se faire mal aimer, mettons même haïr, de tous les fans de Vancouver, le tout en seulement 3 saisons , de 1997 à 2000. 

Beaucoup lui reprochent d'avoir couté cher à la franchise, tiré l'équipe vers le bas, volé le C à Trevor Linder et le chandail 11 de Wayne Maki, qui n'était plus utilisé. La liste n'est pas exhaustive et les amateurs de Vancouver se relèvent la nuit pour Haïr Mark Messier.

La chasse au moose est ouverte

L'attribution de 6M au joueur 12 ans après le rachat de son contrat vient de raviver les douleurs et les haines que son passage avait causé. La chasse au Moose est ouverte. Si vous croyez que Scott Gomez est maltraité dans la presse, lisez cet article tiré d'un blog du Vancouver Sun.

Le journaliste y publie des vidéos de Messier se faisant tapocher sur la glace, pour servir d'éxhutoire aux lecteurs. C'est une blague certes, mais il en mange une bonne pareil !

 

 

 

 

 

 

 

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